Voyager au Vietnam, c’est se laisser envoûter par la richesse de ses paysages, l’accueil chaleureux de ses habitants… et surtout, par la diversité de sa cuisine. De Hanoï à Ho Chi Minh Ville, des montagnes du Nord aux rizières du delta du Mékong, chaque région dévoile des saveurs uniques. Mais une question revient souvent chez les voyageurs : quel budget prévoir pour un repas au Vietnam ?

Entre les stands de rue parfumés, les cantines familiales et les restaurants gastronomiques, les prix varient énormément, tout en restant accessibles. Dans cet article, nous vous proposons une analyse complète et nuancée, pour vous aider à planifier vos repas selon vos envies et votre budget.

1. La cuisine de rue : un trésor à petit prix

La cuisine de rue au Vietnam est bien plus qu’un simple moyen de se nourrir : c’est une véritable institution culturelle. Elle fait partie intégrante du quotidien des Vietnamiens et constitue la meilleure porte d’entrée pour découvrir l’âme du pays.

1.1. Les prix moyens

Un bol de phở (soupe de nouilles au bœuf ou au poulet) entre 35 000 et 50 000 VND (soit 1,30 à 2 €) : Symbole incontournable de la cuisine vietnamienne, le phở séduit par son bouillon clair et parfumé, mijoté des heures avec des os de bœuf et des épices comme l’anis étoilé, la cannelle et le gingembre. Garnies de nouilles de riz fines, de morceaux de viande tendre et d’herbes fraîches, chaque cuillerée transporte le voyageur au cœur de l’authenticité locale. Et le tout pour moins de deux euros, une expérience inégalée de saveur et de tradition.

Une assiette de cơm tấm (riz brisé avec porc grillé) environ 40 000 VND (1,50 €) : Plat populaire du Sud, le cơm tấm illustre à merveille l’ingéniosité vietnamienne. Préparé à partir de brisures de riz, il servi avec du porc grillé et un œuf au plat ou encore d’une galette de pâté de riz. Arrosé d’une sauce nuoc-mâm légèrement sucrée, ce mets simple mais généreux reflète le quotidien des habitants. Pour seulement 1,50 €, c’est un repas complet qui réunit goût, énergie et équilibre.

Un bánh mì garni entre 20 000 à 30 000 VND (moins de 1 €) : Né de l’héritage colonial français, le bánh mì est aujourd’hui un incontournable de la street food vietnamienne. Dans une baguette croustillante, on trouve un mariage unique de saveurs : charcuterie locale, concombre croquant, coriandre parfumée et sauce relevée. Ce sandwich, à la fois rapide et savoureux, est le compagnon idéal des voyageurs pressés. Avec moins d’un euro, on croque dans un concentré d’histoire et de culture culinaire.

Autrement dit, avec moins de 3 €, vous pouvez savourer un repas complet, nourrissant et authentique : En combinant un bol de phở fumant, une assiette de cơm tấm et un sandwich vietnamien au pain doré et croustillant, on réalise que la gastronomie vietnamienne n’a pas besoin d’être coûteuse pour être riche et généreuse. Avec moins de 3 €, il est possible de vivre une expérience culinaire complète, variée et profondément ancrée dans la culture du pays. C’est là l’un des grands charmes du Vietnam : offrir à chacun la possibilité de bien manger, sans contrainte budgétaire.

1.2. L’expérience culturelle

Découvrir l’art culinaire de la rue au Vietnam ne se limite pas à déguster un repas prêt en un instant : c'est une plongée authentique au cœur de l’âme du pays. Installé sur un modeste tabouret en plastique, à la même table que des étudiants, des familles ou des employés de bureau en pause, vous devenez acteur de la vie quotidienne. Autour de vous, le va-et-vient incessant des scooters forme une toile sonore typique des villes vietnamiennes, ponctuée par les rires, les conversations animées et les appels des marchands ambulants.

Les odeurs envoûtantes de grillades, de soupe mijotée ou de nems frits flottent dans l’air, éveillant la curiosité et l’appétit. Le regard se perd entre les paniers de légumes frais, les assiettes colorées de coriandre et de basilic, ou les marmites fumantes d’où s’échappent des arômes puissants. Savourer un phở brûlant ou un bánh mì doré et croustillant dans un tel cadre, c’est bien plus que manger : c’est partager un moment de convivialité, dans une atmosphère vivante et spontanée qui raconte l’histoire du Vietnam contemporain.

Cette expérience sensorielle, simple en apparence, reste l’un des souvenirs les plus marquants d’un voyage. Elle relie le visiteur à la culture locale par les cinq sens, transformant chaque repas de rue en un véritable spectacle de vie.

2. Les petites cantines locales : le juste équilibre

À mi-chemin entre les stands de rue effervescents et les restaurants élégants, les quán ăn – ces petites cantines familiales – représentent l’âme de la richesse culinaire vietnamienne. Leur atmosphère simple mais chaleureuse attire aussi bien les habitants que les voyageurs curieux. On y savoure une cuisine généreuse, préparée avec passion, souvent transmise de génération en génération. C’est l’endroit parfait pour goûter à l’authenticité du pays tout en bénéficiant d’un cadre un peu plus confortable que la rue.

2.1. Les tarifs moyens

Les prix y sont particulièrement accessibles, tout en offrant une excellente qualité :

Un plat de bún chả : vermicelles accompagnés de porc grillé et d’herbes fraîches – varie entre 55 000 et 85 000 VND (soit 2 à 3 €).

Un repas complet avec boisson se situe autour de 105 000 VND (environ 4 €), un tarif imbattable pour une expérience culinaire copieuse et équilibrée.

Un menu végétarien, composé souvent de tofu sauté, de légumes croquants et de riz parfumé, coûte environ 65 000 VND (2,50 €), adapté à celles et ceux qui accordent de l’importance à une alimentation légère, sainte et bienfaisante.

Ces tarifs reflètent parfaitement le rapport qualité-prix exceptionnel que l’on retrouve dans la plupart des cantines locales.

2.2. Pour qui ?

Ces petites cantines s’adressent particulièrement aux voyageurs en quête d’authenticité, mais qui souhaitent également bénéficier d’un minimum de confort. Elles conviennent aux couples, familles ou groupes d’amis qui désirent partager un repas dans une atmosphère conviviale, avec des tables plus stables et un service plus attentif qu’au coin de la rue. C’est aussi une excellente option pour ceux qui veulent s’immerger dans la vie quotidienne vietnamienne sans renoncer à un certain cadre : une salle couverte, parfois climatisée, une carte plus variée et une présentation des plats plus soignée. En somme, un juste équilibre entre immersion culturelle et confort pratique.

3. Les restaurants de gamme moyenne

Dans les centres urbains majeurs, notamment Hanoï, Hué, Hoi An ou Saïgon, les restaurants de gamme moyenne offrent une parenthèse agréable entre la simplicité de la cuisine de rue et l’élégance des tables gastronomiques. Ici, les voyageurs découvrent une cuisine variée, servie dans un cadre plus raffiné, tout en restant accessibles en termes de prix. Ces établissements attirent autant les familles locales que les visiteurs étrangers en quête d’authenticité et de confort.

3.1. Budget indicatif

Le budget à prévoir pour ce type d’adresse reste très raisonnable.

Repas à la carte par personne : entre 150 000 et 250 000 VND (soit 6 à 10 €). À ce prix, on savoure un plat principal copieux, accompagné éventuellement d’une boisson locale.

Menu complet incluant une entrée, un plat, un dessert et une boisson : environ 300 000 VND (12 €). Ce tarif permet de s’offrir une expérience culinaire complète sans dépasser le budget quotidien moyen d’un voyageur.

En somme, avec moins de 15 €, vous profitez d’un repas complet, équilibré et savoureux, dans des conditions bien plus confortables que dans les cantines populaires.

3.2. Ce qu’on y trouve

Dans ces restaurants de gamme moyenne, l’expérience culinaire se distingue par plusieurs atouts :

Spécialités régionales revisitées : phở, bún bò Huế, cao lầu ou encore fruits de mer du littoral, préparés avec créativité et présentés de façon soignée.

Carte bilingue (vietnamien/anglais ou parfois français), qui facilite le choix des mets pour les voyageurs.

Service plus attentif : personnel souriant, recommandations sur les plats, souci du détail.

Cadre agréable : salle décorée avec goût, tables confortables, parfois accompagnées d’une douce musique d’ambiance.

Climatisation : un vrai plus, surtout pendant les journées chaudes et humides du Vietnam.

Ces établissements représentent un excellent compromis : ils permettent de goûter à l’héritage culinaire vietnamien, dans des conditions confortables et rassurantes, sans pour autant dépenser une somme importante.

4. Les restaurants de prestige et gastronomiques

Au-delà des stands de rue et des petites cantines, le Vietnam possède désormais une gastronomie qui rayonne à l’international. Des chefs talentueux, parfois formés dans de grandes écoles occidentales, subliment les produits locaux et proposent des expériences culinaires comparables aux meilleures tables mondiales. À Hanoï, Ho Chi Minh Ville ou Da Nang, plusieurs établissements étoilés ou primés offrent une atmosphère élégante, un service raffiné et une mise en valeur spectaculaire des délices culinaires vietnamiens.

4.1. Prix moyens

Le budget nécessaire pour profiter de ces adresses prestigieuses varie selon le type de menu et le prestige du chef :

Un repas gastronomique : généralement entre 1 000 000 et 2 500 000 VND (soit 40 à 100 €), incluant un service de haute qualité, des plats soigneusement travaillés et un cadre sophistiqué.

Un menu dégustation : autour de 3 000 000 VND (environ 120 €) dans les plus grandes maisons, offrant un véritable voyage sensoriel à travers plusieurs plats raffinés accompagnés de vins sélectionnés.

4.2. L’expérience

Dîner dans un restaurant gastronomique vietnamien, c’est bien plus que se nourrir : c’est une immersion multisensorielle. Vous serez invité à explorer une cuisine fusion subtile, où les recettes traditionnelles se mêlent à des techniques modernes et créatives. Les chefs n’hésitent pas à travailler avec des ingrédients d’exception comme le crabe royal, des herbes aromatiques rares ou encore du café de spécialité reconnu mondialement. Les assiettes sont de véritables œuvres d’art, alliant esthétisme, textures variées et explosion de saveurs. L’ambiance raffinée, l’harmonie musicale et la présentation soignée transforment chaque repas en un moment inoubliable.

4.3. Pour qui ?

Ces établissements haut de gamme s’adressent avant tout aux voyageurs en quête d’exception. Que ce soit pour célébrer une occasion spéciale, marquer une étape importante du séjour ou simplement s’offrir un souvenir mémorable, les restaurants gastronomiques constituent un choix parfait. Ils séduisent également les gourmets curieux, désireux de découvrir le Vietnam autrement, à travers le regard créatif de chefs innovants qui portent la cuisine vietnamienne vers de nouveaux sommets.

5. Les boissons : un poste à ne pas négliger

5.1. Les boissons locales

Au Vietnam, les boissons locales sont indissociables de l’expérience culinaire et reflètent parfaitement l’art de vivre quotidien. Le café vietnamien (cà phê sữa đá), préparé goutte à goutte dans un filtre en métal, séduit par son intensité et sa douceur grâce au lait concentré sucré. Pour seulement 20 000 à 40 000 VND (moins de 2 €), vous dégustez un véritable symbole national, souvent apprécié sur une terrasse animée ou au coin d’une rue. La bière locale, comme la Bia Hà Nội ou la Saigon Beer, accompagne à merveille les repas entre amis ; fraîche et légère, elle coûte à peine 15 000 à 25 000 VND (moins de 1 €). Enfin, les jus de fruits frais, pressés à la minute avec des mangues, fruits du dragon ou canne à sucre, apportent une touche exotique et vitaminée pour environ 29 000 à 43 000 VND, soit un peu plus d’un euro.

5.2. Les boissons importées

Pour ceux qui souhaitent varier leurs plaisirs, les boissons importées offrent une expérience plus internationale mais aussi plus onéreuse. Un verre de vin ou un cocktail se situe entre 150 000 et 250 000 VND (4 à 8 €), des prix bien inférieurs à ceux pratiqués en Europe pour une qualité souvent au rendez-vous. Les amateurs de vin peuvent se faire plaisir avec une bouteille importée à partir de 550 000 VND (20 €), notamment dans les établissements haut de gamme. Quant aux tables prestigieuses, elles proposent parfois un menu dégustation accompagné de vins choisis, autour de 3 000 000 VND (120 €), permettant une immersion totale dans l’art de la gastronomie et de l’œnologie.

6. Différences régionales de budget

Le coût des repas varie aussi selon la région :

Nord (Hanoï, montagnes) : Dans le Nord du Vietnam, et notamment à Hanoï ou dans les villages de montagne, la cuisine se distingue par sa simplicité et sa générosité. Les repas sont souvent composés de soupes parfumées, de riz accompagné de légumes frais et de viandes grillées. Les prix restent très accessibles : avec une somme modeste de quelques dizaines de milliers de dongs, on peut savourer un repas complet et copieux, parfait pour reprendre des forces après une journée d’exploration. Le rapport qualité/prix y est parmi les meilleurs du pays.

Centre (Hué, Hoi An, Da Nang) : Le Centre du Vietnam offre une gastronomie plus raffinée, héritée des traditions impériales de Hué et enrichie par les influences maritimes de Hoi An et Da Nang. Les plats sont plus travaillés, les assiettes plus soignées, avec une palette de saveurs complexes et parfois épicées. Les prix y sont légèrement supérieurs à ceux du Nord, mais restent raisonnables par rapport à la qualité et à la finesse de la cuisine. Comptez quelques euros de plus pour profiter de spécialités emblématiques comme les bánh bèo ou le cao lầu.

Sud (Ho Chi Minh Ville, Mékong) : Dans le Sud, la cuisine reflète la richesse du delta du Mékong et la vitalité de Ho Chi Minh Ville. L’offre est extrêmement variée : cuisine de rue foisonnante, restaurants modernes, adresses branchées et établissements haut de gamme. Si les prix restent abordables dans les quartiers populaires, ils peuvent grimper dans les zones touristiques et internationales. Le Sud séduit ainsi tous les profils de voyageurs, du routard à petit budget au gourmet en quête d’expériences gastronomiques.

7. Budget quotidien moyen selon le style de voyage

7.1. Voyageur « routard »

Le voyageur au profil « routard » privilégie la simplicité et l’authenticité. Ses repas se déroulent essentiellement dans les échoppes de rue ou les petites cantines familiales, là où l’ambiance est conviviale et les prix imbattables. En optant pour un bol de phở fumant, un bánh mì croustillant ou encore un cơm tấm généreux, il peut découvrir les plats emblématiques du Vietnam sans se soucier de son portefeuille. Le budget journalier moyen pour les repas varie entre 5 et 8 €, ce qui permet de manger trois fois par jour tout en profitant de la diversité culinaire locale. C’est l’option idéale pour les jeunes voyageurs, les backpackers ou ceux qui aiment s’immerger dans la vie quotidienne vietnamienne.

7.2. Voyageur « confort »

Le voyageur « confort » recherche un juste équilibre entre immersion locale et cadre agréable. Son programme culinaire alterne entre cantines authentiques, pour goûter aux saveurs populaires, et restaurants de gamme moyenne, qui offrent davantage de confort et parfois une touche de modernité dans la présentation des plats. Avec un budget repas/jour oscillant entre 15 et 25 €, il peut s’offrir un déjeuner traditionnel à 3 € et un dîner complet dans un restaurant bien noté pour 10 à 15 €. Ce style de voyage séduit ceux qui souhaitent découvrir la gastronomie vietnamienne dans toute sa diversité, tout en profitant de menus variés, d’un service attentif et d’un cadre soigné.

7.3. Voyageur « haut de gamme »

Le voyageur « haut de gamme » voit dans la gastronomie vietnamienne une expérience à part entière, au même titre que les visites culturelles. Ses repas se déroulent dans des restaurants gastronomiques où les chefs mettent en valeur les produits locaux à travers des créations raffinées. Souvent, il loge également dans des hôtels 4 ou 5 étoiles, où la restauration suit les standards internationaux. Avec un budget quotidien de 50 € et plus, il peut savourer des menus dégustation, déguster des vins importés ou profiter de buffets de prestige. Cette catégorie convient à ceux qui recherchent un voyage sans compromis, où chaque repas devient un moment d’exception, associant plaisir gustatif, confort et élégance.

8. Conseils pratiques pour gérer son budget repas

Privilégiez les repas locaux : Choisir les repas locaux, c’est plonger au cœur de la culture vietnamienne. Les plats préparés dans les petites échoppes ou cantines familiales sont non seulement savoureux et généreux, mais aussi proposés à des prix défiant toute concurrence. En plus de l’avantage économique, vous soutenez directement les familles locales et participez à la préservation des traditions culinaires.

Demandez toujours le prix avant de commander dans la rue : Dans la cuisine de rue, il est préférable de clarifier le prix avant de passer commande. Cela évite les mauvaises surprises et démontre votre respect pour les règles locales. Les Vietnamiens apprécieront votre transparence et vous bénéficierez d’une expérience conviviale, simple et honnête, au plus près des habitants.

Évitez les zones ultra-touristiques : Les restaurants ou stands installés à proximité immédiate des grandes attractions affichent souvent des tarifs gonflés, parfois deux fois supérieurs aux prix habituels. En vous éloignant de quelques rues, vous trouverez des adresses plus authentiques, fréquentées par les locaux, où la qualité et les saveurs sont au rendez-vous pour un budget bien plus raisonnable.

Essayez les marchés : Les marchés vietnamiens sont de véritables temples de la gastronomie populaire. Vous y trouverez des stands variés proposant soupes, brochettes, fruits frais ou desserts typiques, le tout à des prix imbattables. L’ambiance animée, les couleurs et les odeurs en font une expérience sensorielle unique, tout en vous offrant un rapport qualité/prix exceptionnel.

N’hésitez pas à partager les plats : Au Vietnam, les repas sont souvent servis à la manière conviviale d’un grand buffet au centre de la table. Partager les plats permet de goûter à une plus grande variété de saveurs et renforce les moments d’échanges. En adoptant cette coutume, vous vivez l’expérience culinaire comme un véritable Vietnamien, dans un esprit de convivialité et de découverte collective.

Combien coute un repas au Vietnam ?

Alors, quel budget prévoir pour un repas au Vietnam ? La réponse dépend de votre style de voyage, de vos envies et de votre curiosité culinaire. La beauté du Vietnam réside dans cette diversité : vous pouvez déjeuner pour moins d’un euro dans un marché populaire, puis dîner le soir dans un restaurant gastronomique à prix bien plus abordable qu’en Europe.

Quelle que soit votre option, vous aurez toujours l’assurance d’une cuisine savoureuse, riche en parfums et en histoire. Le Vietnam est un pays où chaque repas devient une découverte, et où la question du budget n’est jamais un obstacle, mais une opportunité de varier les plaisirs.

Ceque vous devez savoir aussi :

• Prix d'un café au Vietnam ?
• Prix d'une bière au Vietnam ?
• Quel budget pour un voyage 15 jours au Vietnam ?