Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An pour une découverte harmonieuse, respectueuse et pleinement immersive
Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, la vieille ville de Hoi An séduit depuis des décennies par sa beauté intemporelle : ruelles illuminées de lanternes, façades jaunes à l’ancienne, maisons en bois aux influences chinoises, japonaises et vietnamiennes, marchés traditionnels et ambiance paisible au bord de la rivière Hoai. Pourtant, derrière cette atmosphère enchanteresse, certaines erreurs courantes peuvent nuire à votre expérience. C’est pour vous accompagner au mieux dans votre voyage que nous vous présentons les Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An, un guide complet et éclairé pour profiter de la ville dans le respect de son histoire, de ses habitants et de ses traditions.

1. Négliger l’achat du billet d’entrée
Parmi les Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An, la première consiste à entrer dans la vieille ville sans billet. Contrairement à de nombreux sites touristiques dans le monde, la billetterie n’est pas strictement contrôlée à chaque ruelle. Beaucoup de visiteurs traversent ainsi les portes historiques sans se rendre compte que l'achat du billet est un acte essentiel.
Pourquoi acheter ce billet ?
Acheter ce billet, c’est participer concrètement à la sauvegarde d’un patrimoine vieux de plusieurs siècles. Les revenus collectés servent à restaurer les toitures en bois, consolider les fondations fragiles, préserver les fresques anciennes et entretenir les temples et maisons communales encore utilisés par les habitants. C’est grâce à ces fonds que la vieille ville conserve son authenticité et peut accueillir les visiteurs dans les meilleures conditions.
Le billet d’entrée ouvre la porte d’un véritable musée à ciel ouvert : le pont couvert japonais du XVIIᵉ siècle, les maisons de marchands aux charpentes sculptées, les salles communautaires d’inspiration chinoise, les pagodes anciennes ou encore les musées retraçant l’histoire maritime et commerciale de Hoi An. Chaque lieu est un fragment vivant du passé, soigneusement conservé pour raconter l’histoire de cette ville portuaire autrefois prospère..
En plus de l’accès aux monuments, le billet comprend une carte détaillée et des informations historiques pour vous orienter à travers les ruelles et les sites emblématiques. Vous pouvez sélectionner librement quatre monuments selon vos envies comme une maison vieille de 300 ans, un temple coloré, une salle communautaire majestueuse ou un musée thématique afin de construire une visite cohérente et enrichissante. Les explications fournies vous permettent de saisir la valeur symbolique, artistique et spirituelle de chaque lieu..
Pour les groupes, un guide local est proposé sans supplément. C’est l’occasion idéale de mieux comprendre l’architecture, les traditions, les coutumes et les légendes de Hoi An à travers le regard d’un expert passionné. Le guide enrichit la visite par des anecdotes, des récits historiques et des explications précises que vous ne trouverez pas dans les brochures classiques.

Tarifs et informations utiles
80 000 VND pour les visiteurs vietnamiens, 120 000 VND pour les visiteurs internationaux et gratuit pour les enfants. Ces tarifs permettent à chacun de participer à la préservation d’un site classé au patrimoine mondial tout en bénéficiant d’une expérience culturelle complète.
Au-delà de l’accès aux monuments, ce geste simple exprime votre engagement envers une communauté qui œuvre chaque jour pour maintenir vivantes ses traditions et ses trésors architecturaux. C’est une manière authentique et responsable de voyager, en contribuant à la transmission d’un héritage précieux aux générations futures.
2. Se rendre à Hoi An en pleine saison des pluies
La deuxième des top 8 choses à éviter de faire à Hoi An est de planifier votre séjour entre octobre et décembre, période où les pluies tropicales sont les plus intenses. Planifier un séjour à Hoi An entre octobre et décembre est l’une des erreurs les plus courantes, car cette période correspond au pic des pluies tropicales dans le centre du Vietnam. Les averses peuvent être soudaines, intenses et prolongées, transformant l’atmosphère habituellement lumineuse de la vieille ville en un décor sombre et humide.
Pour profiter pleinement de la beauté paisible de Hoi An, mieux vaut éviter cette saison capricieuse.
Pourquoi éviter cette saison ?
Débordements de la rivière Hoai : Les fortes pluies font régulièrement monter le niveau de l’eau, au point où certains quartiers sont temporairement inondés. Les zones proches des quais deviennent parfois impraticables, rendant l’accès à plusieurs ruelles ou monuments difficile, voire impossible.
Ruelles glissantes et circulation compliquée : Les pierres anciennes des ruelles, si charmantes sous le soleil, deviennent glissantes et dangereuses sous la pluie. La ville perd alors de sa douceur, et les déplacements à pied, l’un des plaisirs majeurs de Hoi An, deviennent nettement moins agréables.
Activités extérieures perturbées : Les cours de cuisine dans les villages, les balades à vélo dans les rizières, les visites des villages artisanaux ainsi que les excursions en barque sur la rivière Hoai sont fréquemment annulés. La météo limite fortement les expériences immersives qui font la renommée de Hoi An.
Charme nocturne atténué : Sous la pluie battante, les lanternes perdent une partie de leur éclat, les terrasses des cafés se ferment, les animations se raréfient et l’ambiance romantique au bord de la rivière s’estompe. Le spectacle magique du soir, tant attendu par les voyageurs, devient beaucoup plus discret.

Le meilleur moment
Pour savourer Hoi An dans toute sa splendeur, privilégiez la période de janvier à juillet, lorsque : le climat est sec et stable, les journées sont claires et douces, les ruelles débordent de lumière, et les couchers de soleil illuminent les lanternes d’une lueur dorée absolument inoubliable. C’est durant ces mois que Hoi An dévoile son visage le plus serein, poétique et chaleureux, celui que les voyageurs du monde entier viennent chercher.
3. Marchander trop agressivement, surtout le matin
Le marchandage fait pleinement partie de l’art de vivre vietnamien : c’est un jeu subtil, un échange souriant où chacun cherche un juste milieu. À Hoi An, pourtant, aborder la négociation avec trop d’insistance peut créer un malaise. Une attitude trop brusque ou trop offensive, surtout au lever du jour, risque d’être perçue comme un manque de respect. En prenant le temps d’observer, de sourire et d’entrer en contact avec le vendeur, vous découvrirez que la négociation fonctionne ici davantage sur la confiance que sur la confrontation. Ce geste simple contribue à une atmosphère plus harmonieuse et vous garantit souvent une expérience plus agréable.
La règle du premier acheteur
Dans la culture locale, le premier client du jour est synonyme de chance. Pour un commerçant, réaliser une première vente matinale est un signe de prospérité, une manière d’ouvrir la journée sous de bons auspices. C’est pourquoi, à Hoi An, négocier trop fermement dès l’ouverture des boutiques peut être mal perçu : cela reviendrait à contrarier leur début de journée.
Pour respecter cette tradition, il est conseillé de ne pas négocier brutalement dès votre arrivée, d’accepter un prix raisonnable si vous êtes le premier acheteur, d’acheter un petit article si vous n’avez pas l’intention d’acheter davantage mais souhaitez simplement regarder ou discuter.
Ces gestes simples montrent que vous respectez les croyances et les habitudes locales, ce qui sera toujours apprécié.
Un contact humain avant tout
À Hoi An, les commerçants valorisent profondément les échanges chaleureux, les sourires spontanés et les conversations authentiques. En prenant le temps de discuter quelques instants, en posant une question ou en complimentant une pièce artisanale, vous créez un lien qui change tout. Souvent, cette approche bienveillante ouvre la voie à de meilleurs prix, mais surtout à de belles rencontres. Car derrière chaque étalage, il y a des artisans, des familles, des histoires… et c’est précisément ce qui rend la vieille ville si vivante et si attachante.

4. Circuler en moto dans la vieille ville
Beaucoup de voyageurs l’ignorent encore : le centre historique de Hoi An applique des règles strictes de circulation pour protéger son ambiance paisible et son patrimoine classé à l’UNESCO. Traverser la vieille ville en moto peut donc gâcher non seulement votre expérience, mais aussi celle des autres visiteurs. C’est pourquoi éviter les véhicules motorisés fait partie des gestes essentiels pour préserver la douceur de ce lieu unique. Les ruelles étroites, les maisons centenaires et les lanternes suspendues méritent d’être découvertes lentement, sans bruit de moteur ni pollution.
Interdictions en vigueur
Pour maintenir un environnement agréable et sécurisé, les autorités interdisent la circulation des motos et scooters à des horaires précis, tous les jours : de 9h00 à 11h00 et de 15h00 à 21h30
Ces restrictions s’appliquent sur les artères les plus emblématiques : rue Tran Phu, l’axe central bordé de maisons traditionnelles, rue Nguyen Hue, très fréquentée pour ses boutiques artisanales, rue Cong Nu Ngoc Hoa, proche du pont japonais et Les quais de la rivière Hoai, la promenade la plus photographiée de Hoi An
Ces plages horaires permettent aux voyageurs de flâner en toute sécurité, et aux habitants de préserver l’atmosphère sereine de leur ville.
Comment se déplacer ?
Hoi An se découvre idéalement à un rythme lent, et les alternatives à la moto rendent l’exploration encore plus agréable :
À pied : parfait pour admirer les façades jaunes, s’arrêter dans un café, entrer dans un atelier de lanternes ou prendre des photos sans se presser.
À vélo : pratique pour parcourir les ruelles et rejoindre rapidement les villages alentours comme Tra Que ou Cam Thanh.
En cyclo : une expérience typiquement vietnamienne, silencieuse et reposante, idéale pour les familles et les voyageurs souhaitant savourer chaque détail.
En privilégiant ces modes doux, vous profitez pleinement de la magie de Hoi An tout en évitant le bruit, le stress, les risques d’amende et les désagréments liés à la circulation motorisée. C’est la garantie d’une visite harmonieuse, respectueuse et pleine de charme.

5. Porter des tenues trop courtes
La cinquième des Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An concerne la manière de s’habiller, un aspect souvent sous-estimé par les voyageurs mais pourtant essentiel dans une ville riche en spiritualité. Hoi An n’est pas seulement une cité ancienne pleine de charme ; c’est aussi un lieu où les traditions et le culte occupent une place centrale, notamment dans ses temples, pagodes et maisons communales, toujours fréquentés par les habitants pour les rites, les prières et les cérémonies..
Tenues à proscrire
Pour préserver la sérénité des lieux religieux et respecter la culture locale, certaines tenues doivent absolument être évitées :
Shorts trop courts : considérés comme inappropriés dans les espaces sacrés et souvent perçus comme un manque de respect.
Jupes mini : la règle générale est de couvrir les genoux ; les jupes trop courtes sont donc déconseillées.
Ces interdits ne relèvent pas de jugement, mais d’un réel attachement des habitants au respect de leurs traditions et de leurs espaces sacrés.
Décolletés prononcés : les sanctuaires exigent une certaine retenue, et les hauts très ouverts sont mal vus.
Hauts transparents : même par forte chaleur, ils ne conviennent pas à la visite de lieux spirituels.
Épaules entièrement dénudées : pagodes et temples demandent que les épaules soient couvertes, surtout lors des heures de prière.
Tenues recommandées
Pour visiter Hoi An en toute tranquillité, privilégiez des vêtements à la fois confortables, légers et convenables :
Robes légères couvrant les genoux : idéales pour le climat tropical tout en respectant les normes locales.
T-shirts à manches : simples, pratiques et parfaitement adaptés pour entrer dans les temples.
Foulard pour se couvrir dans les pagodes : un accessoire indispensable qui permet de s’adapter facilement à toutes les situations.
Tenues confortables mais respectueuses : lin, coton, vêtements amples… parfaits pour marcher dans la vieille ville sans transpirer et sans déplaire.
Pourquoi cette règle est-elle importante ?
Dans certains sanctuaires, les visiteurs mal habillés peuvent se voir refuser l’entrée. Ce n’est ni de la sévérité ni une mesure discriminatoire, mais une démonstration de respect envers des lieux vivants où se pratiquent encore des rites plusieurs fois par jour. Adopter une tenue correcte contribue non seulement à préserver l’harmonie du site, mais renforce aussi la qualité de votre expérience : vous serez accueilli avec plus de sourires, plus d’explications et une atmosphère bien plus apaisante.

6. Bousculer ou se montrer impatient dans les foules
Aux heures de pointe, lorsque les lanternes s’illuminent et que la vieille ville se remplit d’une foule compacte, Hoi An peut devenir très animée. C’est précisément à ce moment que certains comportements peuvent nuire à l’expérience des autres visiteurs comme à la vôtre. La ville incite naturellement à la douceur, mais un simple geste brusque ou un ton trop élevé peut rompre cette harmonie subtile..
Comportements à éviter
Pousser pour prendre une photo : Se frayer un passage en bousculant les gens pour capturer un cliché du pont japonais ou des lanternes reflétées sur la rivière crée un climat tendu. Non seulement cela dérange ceux qui vous entourent, mais cela vous empêche aussi d’apprécier la scène telle qu’elle est : lente, lumineuse et délicate.
Doubler dans les files d’attente : Devant les stands de street-food, les cafés prisés ou les boutiques traditionnelles, les files d’attente font partie du charme local. Griller une file ou se faufiler discrètement est considéré comme un manque de respect. Attendre votre tour vous permet aussi de profiter de l’ambiance et d’observer les artisans et vendeurs à l’œuvre.
Élever la voix pour se faire entendre : Dans une ville où l’on se parle souvent doucement et où les ruelles étroites amplifient le moindre son, parler trop fort peut surprendre ou gêner. Un ton posé facilite les échanges avec les habitants, qui apprécient la courtoisie et la retenue, surtout en soirée.
S’impatienter dans les cafés prisés ou devant les ponts : Aux endroits emblématiques, l’attente peut parfois être longue. Se montrer agacé, souffler fort ou manifester son impatience contribue à casser l’atmosphère paisible qui fait la renommée de Hoi An. Mieux vaut profiter de ce moment pour observer la vie locale, sentir les parfums de cuisine ou admirer les lanternes au-dessus de l’eau.
Pourquoi ?
Hoi An est une ville qui célèbre la lenteur, la délicatesse et la douceur de vivre. Adopter une attitude calme, patiente et courtoise, c’est respecter les habitants et leur rythme paisible; préserver l’atmosphère harmonieuse de la vieille ville; vivre pleinement la poésie des lanternes, des ruelles jaunes et des reflets de la rivière Hoai; et transformer chaque instant en souvenir agréable plutôt qu’en source de tension.
Ici, la magie opère justement quand on accepte de ralentir et de savourer.

7. Se presser
Se presser à Hoi An est l’une des erreurs les plus fréquentes chez les voyageurs. Dans une ville façonnée par le temps et la douceur, vouloir tout voir en quelques heures revient à passer à côté de l’essentiel. Parmi les Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An, c’est sans doute le piège le plus discret mais aussi le plus dommageable. Ici, la beauté ne se dévoile pas dans la vitesse, mais dans la lenteur : chaque façade jaune raconte une histoire, chaque ruelle a son parfum, chaque pas révèle un détail que l’on n’aurait jamais remarqué en marchant trop vite. À Hoi An, la magie n’apparaît que lorsqu’on accepte de ralentir, de laisser le voyage nous guider plutôt que l’inverse..
Le rythme de Hoi An
Le rythme de Hoi An est un souffle à part, un mélange unique de tranquillité et de poésie.
Le matin, la ville s’éveille doucement. Les marchés déploient leurs étals, les odeurs de café filtré s’échappent des maisons, les habitants balaient le devant de leur porte. Les ruelles encore calmes invitent à la flânerie matinale.
En soirée, contrairement à d’autres grandes villes du Vietnam, la vieille ville se couche tôt. Une fois les lanternes éteintes et les échoppes fermées, Hoi An retrouve une atmosphère presque méditative.
Toute la journée, les rues étroites, les façades anciennes et les lumières chaudes créent un décor où l’on comprend immédiatement que prendre son temps n’est pas une option, mais une manière de s’accorder au charme de la ville.
Pourquoi ralentir ?
Ralentir à Hoi An n’est pas seulement un conseil : c’est une façon d’entrer en harmonie avec la ville et ses habitants.
Observer les artisans au travail : tailleurs, sculpteurs, potiers, peintres… Chaque geste est précis, transmis depuis plusieurs générations. En les regardant, on comprend l’âme artisanale de Hoi An.
S’offrir un café vietnamien au bord de la rivière : assis en terrasse, vous verrez la vie passer, les bateaux glisser doucement et les lanternes se refléter sur l’eau.
Admirer les lanternes au coucher du soleil : c’est l’instant où la lumière devient dorée, où la ville semble suspendue. Les couleurs changent, la rivière se teinte de reflets doux, et c’est là que les photos les plus belles se dévoilent.
Se perdre volontairement dans les petites ruelles : derrière les axes principaux se cachent des passages secrets, des maisons centenaires, des ateliers familiaux et une vie authentique loin du tumulte touristique.
Hoi An n’est pas seulement une étape de voyage ; c’est un rythme, une respiration, une invitation à renouer avec la lenteur. Celui qui accepte de marcher doucement découvrira une ville plus profonde, plus vivante et infiniment plus touchante.

8. Ne rester qu’une journée
Parmi les erreurs les plus regrettables, ne consacrer qu’une seule journée à Hoi An est sans doute l’une des plus fréquentes. La ville semble petite à première vue, mais elle dévoile ses trésors avec lenteur, au rythme doux des lanternes qui s’allument le soir et des ruelles qui s’éveillent au petit matin. Pour en saisir toute la magie, il faut au minimum trois jours : assez pour s’imprégner de son patrimoine, goûter sa cuisine, explorer ses villages artisanaux et sentir la douceur unique qui enveloppe la région.
Que pouvez-vous manquer en restant trop peu ?
Les villages ruraux et artisanaux comme Tra Que, Thanh Ha et Kim Bong.
Tra Que : Un havre de verdure où les familles cultivent les herbes aromatiques depuis des générations. Vous pouvez y découvrir leurs techniques traditionnelles, participer à quelques gestes du quotidien et savourer un repas à base d’ingrédients fraîchement cueillis.
Thanh Ha : Ici, la terre prend vie sous les mains des artisans. Tours manuels, fours anciens, démonstrations et ateliers permettent de comprendre un savoir-faire transmis depuis plus de 500 ans.
Kim Bong : Célèbre pour ses sculptures fines, ses meubles en bois précieux et même ses bateaux traditionnels. Une immersion rare au cœur de l’artisanat vietnamien
Les plages d’An Bang et de Cua Dai : Eaux turquoise, sable doré et ambiance paisible : deux plages idéales pour une matinée de détente, un coucher de soleil romantique ou un déjeuner de fruits de mer face à la mer.
Les balades en barque au clair de lune : Le soir, la rivière se pare de lanternes flottantes et de reflets dorés. Une sortie en barque offre un moment poétique, où Hoi An semble suspendue hors du temps.
Les cours de cuisine : Hoi An est un paradis gastronomique. Les cours de cuisine combinent visite du marché, balade en bateau et préparation de plats typiques comme le cao lầu ou le mì Quảng. Un souvenir gourmand et instructif.
Les marchés locaux au petit matin : Avant que la ville ne devienne animée, les marchés débordent de couleurs, de parfums et de scènes de vie authentiques. Une expérience intime de la culture locale.
Les ateliers de lanternes : Symbole de Hoi An, la lanterne se fabrique ici à la main. Participer à un atelier vous permet de comprendre son histoire et de repartir avec votre propre création.
Les dégustations de spécialités : Impossible d’apprécier Hoi An en quelques heures : sa gastronomie mérite du temps. Entre cao lầu, mì Quảng, white rose, brochettes grillées ou bánh xèo, chaque repas est une découverte.
Hoi An et ses alentours
Excursions en bateau sur la rivière Thu Bon : La rivière, large et tranquille, serpente entre villages, rizières et embarcations traditionnelles. Une croisière permet d’observer la vie locale et d’apprécier les paysages de campagne.
Visite du sanctuaire de My Son : Ancienne capitale religieuse du royaume cham, My Son est un ensemble de temples classés à l’UNESCO. Une visite indispensable pour comprendre l’histoire et les influences culturelles de la région.
Balades à vélo dans les rizières : Les environs de Hoi An sont un patchwork de champs verts, de petits chemins et de hameaux ruraux. À vélo, vous profitez de la tranquillité et du charme authentique de la campagne vietnamienne.
Journées de découverte chez l’habitant : Partager un repas, apprendre à cuisiner, découvrir les rites de la famille ou simplement discuter avec les habitants : ces moments simples sont souvent les souvenirs les plus marquants.

Top 8 choses à éviter de faire
Ces Top 8 choses à éviter de faire à Hoi An ne sont pas des interdictions, mais des repères précieux pour vivre une expérience authentique, sereine et respectueuse. Hoi An est un joyau fragile, façonné par les siècles, par les artisans, par les habitants et par les eaux calmes de la rivière Hoai. En adoptant les bons gestes, les bonnes attitudes et le bon rythme, vous découvrirez une ville dont la beauté se dévoile à ceux qui savent la regarder lentement.
Si vous souhaitez aller plus loin, Vietnam Original Travel se fera un plaisir de vous guider dans une découverte harmonieuse, profonde et inoubliable de cette ville au charme éternel.
Ce que vous ne devrez pas manquer
Photo crédit : non contractuelle
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